Pignon peint d’une auberge encore vivante du Nivernais à quelques kilomètres de la Nationale 7 ( 58 Livry).
Sa réalisation des années soixante évoque les restos simples de l’époque qui offraient des « spécialités ». Souvent pleines en fin de semaine et notamment le dimanche soir, ces maisons, avec des recettes immuables, restauraient les gourmands avides d’habitudes culinaires.
Ces plats, dont le souvenir sensoriel est facteur d’appétit, ne sont peut-être pas très différents de certains concepts urbains branchés d’aujourd’hui.
Marc Combier
